16 novembre 2024
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Notre appareil judiciaire détruit à volonté et à dessein depuis des années se réveille d’un coma profond avec balbutiement, certes, depuis l’arrivée de SEM Félix Tshisekedi, il faut le reconnaître.

Il n’a pas forcément besoin d’atteindre la hauteur de la perfection pour dénicher certaines infractions, dont la trahison.

Nous sommes en guerre et face à une menasse de survie qui pèse sur la nation, rétablir la peine de mort est aussi une stratégie de dissuasion susceptible de faire réfléchir 2 fois ceux qui ont pris les armes contre la république et aussi ceux qui seraient tentés de rejoindre les terroristes ivres du sang: une aventure risquée et mortelle.

À mon analyse s’ajoute le fait que plusieurs personnes qui s’élèvent contre le rétablissement de la peine de mort ont, dans un passé récent ou lointain, brillé dans des positions hostiles à la dynamique populaire contre l’agresseur.

Étonnant! Et pourquoi ? Ils savent!

Pourquoi s’élèvent t-ils tout à coup? Alors que hier et même aujourd’hui ils sont incapables de condamner l’agresseur et l’agression en des termes lucides ?

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Nos services de renseignement et d’intelligence redynamisés par la volonté de Chef de l’Etat, font des prouesses dans la traque des traîtres au vu et au su de nous tous et méritent nos encouragements.

Attendre que l’appareil judiciaire atteigne le sommet de la perfection pour la mise en œuvre de la peine de mort surtout contre les traîtres dans le service de sécurité et de défense me semble inintelligible et transpire une dose d’incohérence et d’inquiétude de la part des tenants de cette douteuse orthodoxie aux allures fallacieuses qui en fait menace l’appareil judiciaire à se taire.

L’arme nucléaire est aussi dissuasive, elle ne tue pas tous les jours!

Léopold MBADU, Expert en geostrategie.
Autorité Morale du parti « Gouvernance & Éthique » GOET/AAAP

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