Cet événement malheureux s’est déroulé la nuit du 7 au 8 avril 2023 sur l’avenue Kambala numéro 18 dans la commune de Nzanza dans le chef de la Province du Kongo Central .
On se croirait dans un film d’action et d’horreur de Hollywood alors que c’est la réalité dans la Province du Kongo Central plus précisément dans la ville de Matadi chef lieu de ladite Province.
Ces bandits communément appelés Kuluna ont investi la résidence d’un dénommé Bradock Mbumba, Ingénieur en bâtiment et l’ont assassiné sans intervention de la police alors que sa résidence est située juste derrière un poste de la police à Baobab/Matadi Ils l’ont tabassé avec des machettes à mort, ils ont saccagé sa chambre et récupéré quelques biens et se sont volatilisés dans la nature.
Ce crime odieux intervient (nuit) quelques heures après le déroulement d’un procès public des kulunas devant la mairie de Matadi. Dans lequel procès, Les malfrats, dénommés Kulunas ont été condamnés à la peine capitale.
La question que se pose l’opinion est celle de savoir si effectivement ce genre de procès à un impact pour dissuader ces criminels à commettre ces actes.
Autre cas d’insécurité signalé, c’est dans le territoire de Muanda où il y a près d’une semaine, malgré le couvre-feu imposé par les autorités à Muanda 2 hommes d’affaires ont été victimes d’attaques à main armée dans leur domicile, l’un situé au quartier 5 maisons et l’autre vers le camp Socir.
Selon le récit de Nsiala, « C’était à 1 h 00 du matin que les criminels armés ont investi par effraction le domicile d’un homme d’affaires au quartier 5 maisons, ils entrent dans sa chambre et braquent toute sa famille. L’un d’eux ordonne au propriétaire : Donne les 5 400 dollars que tu as retirés de la banque aujourd’hui. L’homme d’affaire arme sur la rampe, remet la somme à ces bandits, ces derniers comptent l’argent devant toute sa famille ligotée et se volatilisent dans la nature. »
En gros, Les mesures prises par les autorités provinciales pour lutter contre l’insécurité sont-elles efficaces et efficientes pour permettre à la population de ne pas vivre la peur au ventre comme c’est le cas aujourd’hui ?
La rédaction
